CONCLUSIONS COMPLEMENTAIRES.
Audience du 27 février 2012.
Demande de dépaysement du dossier pour une bonne
administration de la justice sur la juridiction d’Agen ou Bordeaux.
Au vu de l’Art. 43 du code de procédure
pénale.
Au vu de l’Art : 662 du code de
procédure pénale.
Au vu du code de la déontologie des
magistrats.
Au vu des écrits ci-dessous.
Présentées à
Monsieur, Madame, le Président et Accesseurs
Tribunal
correctionnel de TOULOUSE.
Dans une
procédure de citation par voie d’action.
Dont sa première audience a eu lieu le 22 juin 2011.
Renvoyée à
l’audience du 15 décembre 2011 à 14 heures
Renvoyée
à l’audience du 27 février 2012 à 14 heures
Reprenant
les conclusions du 15 décembre 2011 et complémentaires.
FAX : Greffe
correctionnelle de Toulouse en son T.G.I
N° 05-61-33-73-73.
*
**
POUR :
Monsieur LABORIE André partie
civile demandeur d’emploi né le 20 mai 1956 à Toulouse domicile au N°2
rue de la FORGE 31650 Saint ORENS de GAMEVILLE.
PS : « Actuellement
le courrier est transféré pour le préserver, faisant suite à la violation du
domicile en date du 27 mars 2008 » (domicile actuellement occupé par un
tiers)
CONTRE
Maître CHARRAS Jean Luc, né le 11
avril 1958 à valence ( 26), de nationalité française,
Notaire 8 place de la République 26006 Valence Cedex.
*
* *
PLAISE :
Qu’au vu que
Maître CHARRAS Jean Luc est le neveu de Madame CHARRAS Danièle substitut
de Monsieur le Procureur de la république de Toulouse, poursuivie par
citation par voie d’action en 2005 « Cette dernière ayant fait obstacle à
la procédure pour avoir participé à la détention arbitraire du 14 février 2006
au 14 septembre 2007 ». (Les preuves peuvent être fournies à votre
demande).
Qu’au vu des
liens qui unissent Maître CHARRAS Jean Luc directement ou indirectement aux
Magistrats toulousains, pour une bonne administration de la justice, ce
dossier doit être dépaysé sur une autre juridiction que celle du ressort de la
cour d’appel de Toulouse.
Qu’au vu des
faits poursuivis contre Maître CHARRAS Jean Luc, pouvant mettre en cause
différentes décisions obtenues par escroquerie et autres auprès de différents
magistrats toulousains qui ces derniers se refusent de se désavouer et d’ouvrir
un quelconque débat.
Qu’au vu des
différents litiges en cours devant la juridiction toulousaine et qui m’opposent
à différents magistrats du siège, du parquet, à des avocats, à des huissiers de
justice, à des notaires, Préfet et autres ; Ces derniers ayant agit
principalement pendant que j’étais en détention arbitraire du 14 février 2006
au 14 septembre 2007 et suivant, sans
aucun moyen de défense et après avoir été dépouillé par ces derniers.
Qu’au vu des
différents obstacles de droit permanents ; aide juridictionnelle pour
obtenir un avocat, « au civil et au pénal » agissements effectués à
l’encontre de Monsieur LABORIE André à ne pouvoir se faire entendre devant un
juge impartial sur la juridiction de Toulouse, à saisir un tribunal pour
trancher les litiges qui l’opposent tout en respectant les
article 6 ; 6-1 ; 6-3 de la CEDH.
Qu’au vu de
tous les moyens employés par la juridiction toulousaines pour faire obstacle
aux droits de défense de Monsieur LABORIE André, en l’espèce le mettant en
détention arbitraire du 14 septembre 2011 au 24 novembre 2011 pour
faire obstacle à ses procès en cours, aux intérêts de Monsieur et Madame
LABORIE et au prétexte que Monsieur le Procureur de la république de Toulouse
aurait été victime des agissements de Monsieur LABORIE André.
Alors que l’article 662 alinéa 13 du cpp indique bien en l’espèce dans un tel cas de
victime du procureur de la république, que le tribunal saisi n’offre pas les
garanties suffisantes d’impartialité.
Que dans un tel
contexte d’action par le parquet de Toulouse et des autres magistrats qui en
ont suivis à l’encontre de Monsieur LABORIE André aucune contestation ne peut
aller à son encontre de ses dires soulevés concernant sa détention arbitraire.
Qu’au vu de la
récidive du parquet de Toulouse en ses poursuites du 8 décembre 2011 représenté
par Monsieur le Procureur de la République, soit d’une nouvelle tentative de
détention arbitraire de Monsieur LABORIE André et pour avoir dénoncé par écrit en
date du 30 novembre et 6 décembre 2011 aux autorités la détention arbitraire
subie le 14 septembre 2011, pour avoir aussi réclamé les pièces de procédures
dont il avait fait l’objet, la décision
rendue en date du 15 septembre, toujours non fournie à ce jour, j’ai été encore
une fois renvoyé en comparution immédiate pour son audience du 13 janvier 2012.
Alors qu’au vu de la jurisprudence ci
dessous :
Arrêt de la Cour de Cassation du 27 septembre 2000 N°
99-87929
Celui qui dénonce à
l’autorité compétente des faits délictueux imputés à un magistrat ne commet à
l’égard de ce magistrat aucun outrage s’il se borne à spécifier et qualifier
les faits dénoncés.
Article 41 de
la loi du 29 juillet 1881
Ne donneront lieu à
aucune action en diffamation, injure ou outrage, ni le compte rendu fidèle fait
de bonne foi des débats judiçiaires, ni les discours
prononcés ou des écrits produits devant les tribunaux.
Article 434-1
et suivant du code pénal
Le fait, pour
quiconque ayant connaissance d'un crime dont il est encore possible de prévenir
ou de limiter les effets, ou dont les auteurs sont susceptibles de commettre de
nouveaux crimes qui pourraient être empêchés, de ne pas en informer les
autorités judiciaires ou administratives est puni de trois ans d'emprisonnement
et de 45000 euros d'amende.
Et en violation de
l’Article 662 alina 13 du code de
procédure pénale ( ci-dessus repris)
Qu’au vu des
différents obstacles caractérisés et prémédités, ne pouvant être contestés sur
les dossiers qui n’ont pu être entendus contradictoirement devant un tribunal
impartial pendant la détention arbitraire de Monsieur LABORIE André du 14
septembre 2011 au 24 novembre 2011.
En l’espèce
dossiers programmés pour
les audiences ci-dessous :
-
Citation CARASSOU ; TEULE ; BABILE ;
SARL LTMDB.
Et dans une intention d’agir ainsi dans les dossiers pour l’audience
ci-dessous.
- Audience du 15 décembre 2011 à 14
heures à l’encontre de :
- La SCP d’huissiers VALES, GAUTIER, PELISSOU.
- Maître FARNE Henry et Maître FRANCES Elisabeth.
- Le directeur
des services fiscaux, Monsieur LE FLOCH LOUBOUTIN
- Maître CHARRAS Jean Luc
Notaire à Toulouse.
Que
tous les justificatifs sont déjà en possession du tribunal, de la juridiction
toulousaine.
Que Monsieur
LABORIE André pourrait apporter encore de nombreuses pages supplémentaires pour
établir que la juridiction toulousaine est toute réunie et solidaire « partiale au vu
de fait réels et preuves matérielles » pour ne pas
accepter, reconnaître, désavouer des décisions prises et obtenues comme
indiquée dans les poursuites faites à l’encontre de Maître FARNE Henry et
Maître FRANCES Elisabeth.
Que
dans un tel contexte Monsieur LABORIE André
est fondé de demandé qu’il soit ordonné le dépaysement de ses affaires
sur une juridiction éloignée du ressort de la cour d’appel de Toulouse soit en
l’espèce sur la juridiction d’Agen ou Bordeaux pour une bonne administration de
la justice.
Juridiction
d’Agen Bordeaux, les plus accessibles
aux intérêts de Monsieur LABORIE André, se trouvant au RSA et sans pouvoir
conduire suite à d’autres obstacles du parquet de Toulouse que je ne peux
épiloguer à ce jour concernant celle-ci.
Texte justifiant la demande de dépaysement.
Code de déontologie des magistrats :
·
• Il incombe à tout juge d’observer une
réserve et d’éviter tout comportement de nature à entraîner le risque que son
impartialité soit mise en doute et qu’il puisse, de ce fait, être porté
atteinte à l’autorité de l’institution judiciaire ; un magistrat est tenu de se déporter dés
lors qu’il entretient ou a entretenu des relations suivies avec une des parties
au litige dont il est saisi.
·
·
• Le Magistrat qui, ayant l’obligation
morale de se déporter et d’éviter toute intervention de nature à donner
l’apparence d’un manquement à la neutralité et à l’impartialité, ne le fait
pas, faillit aux devoirs auxquels tout juge est tenu de se conformer dans sa
démarche et dans son action.
·
*
* *
Qu’il est aussi rappelé qu’une
ordonnance a été rendue au civil en date du 25 mars 2008, par Madame Agnès
LEMONNYER N° 08/00052 ; indiquant que la juridiction toulousaine doit en conscience
s’abstenir dans la mesure ou la juridiction parisienne est saisie d’une plainte
avec constitution de partie civile visant des faits qualifiés de détention
arbitraire notamment reprochés à 15 magistrats du tribunal de grande instance
et de la cour d’appel de Toulouse et dans la mesure ou 18 autres magistrats de
ces deux dernières juridictions font l’objet de plaintes avec constitution de
partie civile ou citation directes par Monsieur LABORIE André.
Que les magistrats au civil ont
un lien direct ou indirect avec les autres magistrats de la juridiction
toulousaine, la demande de dépaysement pour obtenir une décision par un
tribunal indépendant et impartial est de droit au vu de l’article 6 de la CEDH,
des articles 43 ; 662 aliéna 13 du code de procédure pénale, du code de la déontologie des
magistrats et au vu des voies de faits déjà subies par Monsieur LABORIE André
au cours de différentes citations par voies d’action, ou la violation
permanente des règles de droit a fait déjà de nombreux obstacles à ce que sa
cause soit entendue équitablement sans moyen discriminatoire.
Que le tribunal ne peut même pas se saisir à
rendre une quelconque décision même concernant la consignation à fixer, car
l’impartialité ne peut être établie au vu de tous les éléments ci-dessus.
Quand bien même que le parquet n’est pas lié
à la partie civile dans la procédure de citation par voie d’action, « la citation vaut réquisitoire du procureur
de la république et met automatiquement l’action publique en mouvement » il se doit de
faire respecter les droits des parties à fin que les causent soient entendues
devant un tribunal impartial et indépendant au sens de l’article 6 de la CEDH
et tout en faisant respecter les articles 6-1 et 6-3 de la CEDH.
NOUVEAUX ELEMENTS
La responsabilité pénale des magistrats judiciaires : l'application de
la loi commune
En
matière pénale, les magistrats ne bénéficient, depuis la loi n° 93-2 du 4
janvier 1993, d'aucun privilège de juridiction ni d'aucune immunité. Leur
responsabilité pénale peut être engagée comme celle de tout citoyen, mais aussi
en tant que magistrats, dépositaires de l'autorité publique. A ce titre, ils
sont soumis à la répression d'infractions spécifiques du code pénal, telles que
l'abus d'autorité (art. 432-4), la corruption active ou passive
(art. 434-9), ou le déni de justice (art. 434-7-1).
Soit : Procès pénal à
l’encontre de Monsieur DAVOST Patrice et Monsieur VALET Michel :
III
/ I / A l’encontre de Monsieur DAVOST Patrice .
I / a : Sur la détention arbitraire du 14
février 2006 au 14 septembre 2007.
Qu’au vu d’une détention arbitraire consommée par
Monsieur LABORIE André du 14 février 2006 au 14 septembre 2007, sans un mandat
de dépôt, sans une condamnation définitive et au vu des voies de recours
toujours pendantes, à ce jour procédure prescrite à l’encontre de Monsieur
LABORIE André.
Qu’au vu de 32 courriers envoyés aux différentes
autorités pour faire cesser la détention arbitraire de Monsieur LABORIE dont
forcément Monsieur DAVOST en été averti, ce dernier par son silence à faire
cesser ce trouble à l’ordre public, contraire à notre constitution, Monsieur
DAVOST Patrice s’est rendu coupable de la détention arbitraire.
Que Monsieur DAVOST Patrice dans un temps non
prescrit par la loi, agissant dans le cadre de ses fonctions « d’agent
public » en tant que
Procureur Général prés la cour d’appel de Toulouse avec mission de
représentation du ministre de la justice ;
chef hiérarchique de la police nationale, de la gendarmerie, du
procureur de la république et de ses substituts ; a pris connaissance de
32 courriers de Monsieur LABORIE André courant l’année 2006 et 2007, restés
tous sans réponse concernant une détention arbitraire établie par les preuves
matérielles réelles, portées à sa connaissance pendant la période du 14 février
2006 au 14 septembre 2007.
Soit
détention arbitraire du 14 février 2006 au
14 septembre 2007.
·
Faits réprimés par les articles : 432-4 ; 432-5 ; 432-6 du code pénal.
I / b : Sur la détention arbitraire du 14
septembre 2011 au 24 novembre 2011.
Que Monsieur DAVOST Patrice Procureur général a
aussi cautionné et facilité les agissements de Monsieur VALET Michel procureur
de la république de Toulouse pour avoir accepté que Monsieur LABORIE André soit
mis en détention arbitraire du 14 septembre 2011 au 24 novembre 2011, sans un
quelconque délit, sans une condamnation définitive, décision arbitrairement
prise en violation de tous les droits de défense de Monsieur LABORIE André.
Soit
détention arbitraire du 14 septembre 2011
au 14 novembre 2011.
·
Faits réprimés par les articles : 432-4 ; 432-5 ; 432-6 du code pénal.
I / c : Sur la détention arbitraire par
corruption active ou passive de tous ses subordonnés,
Qu’au vu du déroulement ci-dessous et preuves
apportées sur ces détentions arbitraires, Monsieur DAVOST Patrice a favorisé
directement ou indirectement par différents moyens « avantage ou
autres », exercés devant le tribunal, la cour d’appel de Toulouse, la cour
de cassation et pour obtenir par faux et usage de faux des décisions contraires
à la loi, en violation permanente des droits de la défense en ses articles
6 ; 6-1 ; 6-3 de la CEDH. « En l’espèce dans ce cas de figure ceux de
Monsieur LABORIE André ».
Soit
corruption active et passive établie :
Mesures destinées
à faire échec à l'exécution de la loi :
III
/ II / A l’encontre de Monsieur VALET Michel.
II / a : Sur la détention arbitraire du 14
septembre 2011 au 24 novembre 2011.
Monsieur VALET Michel procureur de la république de
Toulouse a prie l’initiative de mettre Monsieur LABORIE André en prison du 14
septembre 2011 au 24 novembre 2011, sans l’existence d’un quelconque délit, par
corruption du tribunal à l’audience du 15 septembre 2011, par corruption de ses
subordonnés et dans le seul but de faire obstacle aux différents dossiers en
cours, aux différentes plaintes portés à sa connaissance.
Monsieur VALET Michel procureur de la république de
Toulouse a prie l’initiative de mettre Monsieur LABORIE André en prison du 14
septembre 2011 au 24 novembre 2011 en auto- forgeant un dossier sur des faits
prescrits par la loi.
Monsieur VALET Michel procureur de la république de
Toulouse a prie l’initiative de mettre Monsieur LABORIE André en prison du 14
septembre 2011 au 24 novembre 2011 pour faire obstacle à un magistrat renvoyé
par la cour de cassation en audience correctionnelle.
Monsieur VALET Michel procureur de la république de
Toulouse a prie l’initiative de mettre Monsieur LABORIE André en prison du 14
septembre 2011 au 24 novembre 2011, à fin de lui soustraire le disque dur de
l’ordinateur de Monsieur LABORIE andré pour le priver de la gestion de ses
dossiers.
Monsieur VALET Michel procureur de la république de
Toulouse a prie l’initiative de mettre Monsieur LABORIE André en prison du 14
septembre 2011 au 24 novembre 2011, en violation de tous les droits de la
défense, par faux et usage de faux.
Soit
détention arbitraire du 14 septembre 2011 au 14 novembre
2011:
·
Faits réprimés par les articles : 432-4 ; 432-5 ; 432-6 du code pénal.
II / b : Sur la détention arbitraire du 14
septembre 2011 au 24 novembre 2011.
Monsieur VALET Michel procureur de la république de
Toulouse a prie l’initiative une nouvelle fois de mettre Monsieur LABORIE André
en garde à vue le 8 décembre 2011 et suivi de poursuites correctionnelle pour
outrage alors qu’il a seulement dénoncé aux autorités judiciaires la détention
arbitraire qu’il venait de subir et le vol de son disque dur lui portant de
graves préjudices en ses droits de défense et dont l’instigateur était Monsieur
VALET Michel au vu des pièces du dossiers en ses réquisitions.
Soit
tentative de récidive de détention
arbitraire par une garde à vue faite en violation de toutes les règles de
droits. « Absence de délit,
violation des droits de la défense ».
·
Faits réprimés par les articles : 432-4 du code pénal.
II / c : Sur la détention arbitraire par
corruption active ou passive de tous ses subordonnés,
Qu’au vu du déroulement ci-dessous et preuves
apportées sur ces détentions arbitraires, Monsieur VALET Michel a favorisées
directement ou indirectement par différents moyens exercés devant le tribunal
et pour obtenir par faux et usage de faux des décisions contraires à la loi,
violation permanente des droits de la défense en ses articles 6 ;
6-1 ; 6-3 de la CEDH. « En l’espèce dans ce cas de figure ceux de
Monsieur LABORIE André ».
Soit
corruption active et passive établie :
Mesures destinées
à faire échec à l'exécution de la loi :
Conseil
supérieur de la magistrature, statuant comme conseil de discipline des
magistrats du siège.
Décision S 79
MAGISTRAT -
Devoirs fondamentaux - Devoir de neutralité - Manquement - Applications
diverses - Intervention de nature à donner l'apparence d'un manquement à la
neutralité
Il incombe à tout juge d'observer une réserve rigoureuse
et d'éviter tout comportement de nature à entraîner le risque que son
impartialité soit mise en doute et qu'il puisse, de ce fait, être porté
atteinte à l'autorité de l'institution judiciaire ; un magistrat est tenu de se
déporter dès lors qu'il entretient ou a entretenu des relations suivies avec
une des parties au litige dont il est saisi.
Le magistrat qui, ayant l'obligation morale de se
déporter et d'éviter toute intervention de nature à donner l'apparence d'un
manquement à la neutralité et à l'impartialité, ne le fait pas, faillit aux
devoirs auxquels tout juge est tenu de se conformer dans sa démarche et dans
son action.
MAGISTRAT
- Devoirs fondamentaux - Devoir de maintenir la confiance du justiciable
envers l'institution judiciaire - Manquement - Applications diverses - Intervention
de nature à donner l'apparence d'un manquement du magistrat à la neutralité et
à l'impartialité
Manque aux devoirs de délicatesse et de loyauté auxquels
est tenu tout juge, et omet de se conduire comme un digne et loyal magistrat,
le juge qui, en ne se déportant pas dans des affaires où il a l'obligation
morale de ne pas siéger, se départit de la réserve rigoureuse à laquelle il est
tenu, s'exposant ainsi à ce que son impartialité et sa neutralité soient mises
en cause et portant, de ce fait, atteinte à l'autorité de l'institution
judiciaire.
Textes appliqués : Ordonnance n° 58-1270 du
22 décembre 1958, articles 43 à 58 ; loi organique n° 94-100
du 5 février 1994, articles 18, 19 ; décret n° 94-199 du 9 mars 1994, articles 40 à 44.
Sur l’intention
des délits
« L’élément
intentionnel résulte de la nature même du délit » ( Cass.crim, 4 janvier 1902 : DP 1904, p.128-19
mars 1942 : DA 1942, p.102-16 janv 1947 : Bull.crim, N°23.-3 janv.1970 : D.1970, somm.p.68 ; Bull.crim,N°7)
PAR CES
MOTIFS.
Rejeter toutes conclusions contraires et mal
fondées.
Au vu de tous les éléments ci-dessus.
Au vu de l’insuffisance d’impartialité du
T.G.I de Toulouse
Ordonner le dépaysement de
l’affaire pour une bonne administration de la justice sur la juridiction d’Agen
ou de Bordeaux et sans causer plus de préjudices à Monsieur LABORIE André pour
y avoir accès, tout en sachant qu’il est au RSA et sans permis de conduire, se
faisant transporter par une personne proche de la juridiction d’Agen ou de
Bordeaux.
Constater que le tribunal ne
pouvant au vu des éléments de droit ci-dessus et des voies de faits subies par
Monsieur LABORIE André, statuer sur le
montant de la consignation, car aussi le doute de l’impartialité des magistrats
de la juridiction toulousaine est établie au vu des différentes procédures
antérieures et qui définissent bien de la partialité de la dite juridiction,
justifiée par les différents obstacles rencontrés pour se refuser de statuer
sur le fond des affaires conformément à la loi et dépayser les affaires.
Sous toutes réserves dont actes :
Monsieur LABORIE André
Pièce : expliquant la détention arbitraire de Monsieur LABORIE
André du 14 septembre 2011 au 24 novembre 2011.
-
Plainte à Monsieur MERCIER Ministre de la
justice le 4 décembre 2011.